Satyagraha – Quand l’amour fait la révolution

8e Partage scriptural par Zoom en France, le dimanche 10 octobre 2021, de 17 à 18h30

Le dimanche 10 octobre 2021, l’AIPD-France a organisé sa réunion mensuelle interconvictionnelle par Zoom sur le thème : « SATYAGRAHA : quand l’amour fait la révolution« , à l’occasion de la Journée internationale de la non-violence 2021.

Trois extraits de textes sacrés sur ce thème avaient été envoyées à toutes les personnes inscrites. Cette fois-ci, en plus de la transmission en direct par Zoom nous avons pu organiser deux réunions en présentiel (une à l’Espace Barrault de Paris et l’autre à l’Espace Culture & Paix de Lyon) ; finalement, plus 100 personnes (de 25 pays) ont pu participer à la réunion en direct sur Zoom, et d’autres sur Facebook.

La modératrice était Mme Soraya AYOUCH, psychologue clinicienne, assistant professeur Paris VII, Fondation Al Moultaqa, Tarika Kadiria Boutchichya et membre du comité de parrainage de « Dialogue & Alliance ».

Après leur lecture, les textes sacrés ont été commentés par des représentants de différentes traditions :

o JUDAÏSME : le texte, tiré du 2e Livre de Samuel 16.5-12, a été lu et brièvement commenté par Mme Tirzi MARTIN (qui remplaçait le Rabbin Gabriel HAGAÏ, empêché pour raison médicale).

o CHRISTIANISME : le texte des Béatitudes (Matthieu 5.9-10) a été commenté par le pasteur Jean-Claude GIRONDIN, docteur en sociologie, pasteur de l’Église mennonite multiculturelle de Villeneuve-le-Comte, auteur de « Martin Luther King : le rêve de la ‘‘communauté bien-aimée’’»

o Le duo Naren & Sarada a offert un chant de Tagore « Avalokiteshvara ».

o ISLAM : les versets 33 à 36 de la Sourate 41du Coran ont été très clairement commentés par Mme Anne-Sophie MONSINAY, co-fondatrice des Voix d’un islam éclairé et imame de la mosquée Simorgh.

Il y a eu ensuite une session de questions-réponses coordonnée par M. Laurent LADOUCE. M. Jean-François MOULINET, coordinateur du Forum « Dialogue & Alliance », a présenté quelques mots de clôture et le Vénérable Michel THAO CHAN a présenté quelques remarques.